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In: Études de l'OCDE sur la croissance verte
It is now commonplace to say that information and communications technologies are rapidly transforming the world of research. We are only beginning to recognize, however, that management of the scientific enterprise must adapt if we, as a society, are to take full advantage of the knowledge and understanding generated by researchers. One of the most important areas of information and communication technology (ICT)-driven change is the emergence of escience, briefly described as universal desktop access, via the Internet, to distributed resources, global collaboration, and the intellectual, analytical, and investigative output of the world's scientific community.The vision of e-science is being realised in relation to the outputs of science, particularly journal articles and other forms of scholarly publication. This realisation extends less to research data, the raw material at the heart of the scientific process and the object of significant annual public investments.Ensuring research data are easily accessible, so that they can be used as often and as widely as possible, is a matter of sound stewardship of public resources. Moreover, as research becomes increasingly global, there is a growing need to systematically address data access and sharing issues beyond national jurisdictions. The goals of this report and its recommendations are to ensure that both researchers and the public receive optimum returns on the public investments in research, and to build on the value chain of investments in research and research data. To some extent, research data are shared today, often quite extensively within established networks, using both the latest technology and innovative management techniques. The Follow Up Group drew on the experiences of several of these networks to examine the roles and responsibilities of governments as they relate to data produced from publicly funded research. The objective was to seek good practices that can be used by national governments, international bodies, and scientists in other areas ...
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This second publication of Education at a Glance (the first came out in1992 ) covers tthe 1990/91 school year and includes a set of 38 indicators.These make it possible to examine different aspects of education policy: thelevel of investment that is supported; how the education system is financedand staffed; where important decisions are taken; what level of participation isreached; how student differentiation operates; what results are achieved inkey subjects; and student graduation rates. These indicators also help identifythe levels and types of education that lower the risk of unemployment, one ofthe major problems now affecting the OECD countries . ; Cette deuxième édition de Regards sur l'éducation ( la première étant parue en 1992) couvre l'année scolaire 1990/91 . Elle comprend un ensemble de 38 indicateurs permettant non seulement d'examiner divers aspects de la politique éducative - le niveau des investissements, les modes de financement et de recrutement, les lieux où sont prises les décisions importantes, les taux de scolarisation, la faàon dont s'opère la sélection des élèves , les résultats obtenus ou la réussite des élèves dans certaines matières essentielles et le taux de réussite aux examens - mais aussi d'identifier les niveaux et les types d'enseignement qui diminuent le risque de chômage , l'un des principaux problèmes auxquels les pays de l'ocde sont aujourd'hui confrontés
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Une part croissante de la population des pays de l'OCDE est exposée à des niveaux sonores élevés et parfois même dangereux, principalement à cause d'un trafic routier qui ne cesse d'augmenter. Bien que les pouvoirs publics se soient fixé des objectifs de lutte contre le bruit aux niveaux international et national, peu de progrès réels ont été réalisés ces dernières années en matière de diminution del'exposition au bruit. Cette publication décrit l'aggravation du bruit ambiant, analyse l'effet des politiques de lutte contre le bruit mises en œuvre dans six pays — Allemagne, Australie, France, Japon, Pays-Bas et Suisse — et formuledes recommandations pour réduire efficacement cette forme insidieuse de pollution.
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Les défis auxquels ont dû faire face les établissements non universitaires d'enseignement post-secondaire pendant les années 60 et 70 ont été analysés dans un précédent rapport de l'OCDE, L 'enseignement supérieur court : A la recherche d 'une identité (1973). Dès le milieu des années 70, la situation dans laquelle ces établissements ont dû fonctionner s'est radicalement transformée. Les grandes réformes économiques et structurelles se sont accompagnées de nouvelles politiques, de changements dans les objectifs et les stratégies des entreprises, et dans les besoins et les aspirations de la population. Ce rapport analyse l'évolution de ces « nouvelles formes » d 'enseignement supérieur à la lumière de ces changements. Au cours de ces quinze dernières années, le bien-fondé des conceptions qui ont été à l'origine de la création de formations non universitaires, à vocation professionnelle, a été amplement démontré dans la plupart des pays étudiés ici. Les incertitudes initiales, qui encourageaient la « dérive académique », c 'est-à-dire la tendance à adopter des modèles propres au secteur universitaire, ont été remplacées par une confiance plus grande dans la spécificité des missions et des responsabilités du secteur non universitaire de l'enseignement supérieur. En fait, dans bien des cas, la position des établissements de ce secteur semble aujourd'hui beaucoup plus forte que ce à quoi on s'attendait au départ. A certains égards, le secteur non universitaire semble mieux armé que bien des universités traditionnelles pour répondre aux besoins nouveaux, en particulier ceux qui résultent des changements structurels de l'emploi et de la rapide diffusion des nouvelles technologies. Ses rapports avec le secteur universitaire restent cependant un problème, notamment pour ce qui est du prestige. Mais d'autres questions apparaissent à la suite de la concurrence d'un« troisième secteur » d'enseignement post-secondaire — des établissements et programmes de formation de toutes sortes, privés le plus souvent — qui gagne du ...
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Ce rapport a été établi à la demande du Comité de la Gestion des Déchets Radioactifs et du Comité de Protection Radiologique et de Santé Publique de l'Agence de l'OCDE pour l'Energie Nucléaire. Ces deux Comités, composés de représentants gouvernementaux et d'experts en radioprotection et en gestion des déchets radioactifs, sont responsables des travaux de l'Agence, en particulier sur les aspects techniques de la gestion des déchets radioactifs et ceux liés à la sûreté et à la protection de l'environnement. Dans le passé, ils ont patronné plusieurs études consacrées aux problèmes techniques et réglementaires soulevés par la gestion des déchets radioactifs. Afin de situer ces problèmes dans une perspective plus large, les deux Comités ont demandé à un groupe d'experts commun, présidé par M. John Coady du Canada, d'établir un rapport présentant, entermes simples, un exposé équilibré des principes qui sous-tendent les politiques de gestion des déchets. La liste des membres de ce Groupe est donnée en annexe. Le rapport représente les vues des experts qui y ont contribué. Sapublication a été approuvée par le Comité de la Gestion des Déchets Radioactifs et le Comité de Protection Radiologique et de Santé Publique afin de promouvoir une meilleure compréhension des principes régissant l'évacuation des déchets radioactifs. Il n'engage en aucune façon les Gouvernements des pays Membres ou l'Organisation.
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L'interdépendance croissante du système économique et politique international est devenue une question cruciale pour les gouvernements et les organisations internationales au moment de l'examen des problèmes critiques qui domineront vraisemblablement la scène mondiale jusqu'à la fin de cette décennie et de ce siècle. On voit cette interdépendance couvrir non seulement la population, les migrations, l'énergie, l'alimentation, les transferts financiers et la technologie, mais également l'environnement et, de façon croissante, les bases écologiques du développement : les ressources renouvelables et non-renouvelables, les océans, l'atmosphère et le climat, les terres, l'espace, les ressources et l'héritage génétique de l'humanité. La compréhension de cette interdépendance et de ses implications peut conduire à l'espoir ou au désespoir selon le point de vue de chacun sur la volonté et la capacité des gouvernements de faire les ajustements nécessaires au sein de leur pays et entre chacun d'eux.
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Ce livre contient les quatre rapports qui ont été discutés lors de la réunion au niveau ministériel du Comité de la Politique scientifique et technologique en mars 1981. Il s'agit d'un dossier qui aborde des questions essentielles : celles desressources qu'offrent la science et la technologie non seulement pour la solutiondes difficultés auxquelles nos économies sont confrontées, mais encore pour établir les fondements du développement économique mondial dans les dix à vingt prochaines années. (.)
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La Nouvelle-Zélande est l'un des pays de l'OCDE dont l'environnement est le moins pollué et qui compte le moins d'habitants au kilomètre carré. Plus de 18% de l'ensemble de son territoire appartiennent à l'Etat sous forme de parcs nationaux ou de réserves forestières. Près de 5% seulement des ressources hydrauliques annuelles sont utilisées à des fins de consommation et près de 75% de l'électricité est produite grâce à l'eau, l'une des sources d'énergie renouvelables les moins polluantes.
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Dans plusieurs pays de l ' OCDE la croissance rapide du tourisme depuis 1950 a provoqué une certaine dégradation de l 'environnement. Ces pays ont alors demandé à l'OCDE d'examiner ce problème et c'est ainsi qu'a été créé en 1977, dans le cadre du Programme de Travail du Comité de l 'Environnement, le Groupe d'Experts sur l 'Environnement et le Tourisme. Celui-ci a été chargé d'analyser les différents impacts du tourisme sur l 'environnement et de rechercher dans quelle mesure et par quels moyens il était possible de les réduire ou de les éviter.Cette publication, "Environnement et Tourisme", constitue le résultat final de ce programme de travail qui s 'est achevé en octobre 1978 à Salzburg par une Session Spéciale rassemblant les membres du Groupe ainsi que des experts de divers domaines et des personnalités politiques. Les travaux de ce Groupe ont été fondés en grande partie sur deux types de rapports fournis par les pays Membres participant à ce projet :- le premier type de rapport est un rapport national décrivant la situation générale du tourisme et de l 'environnement, la politique gouvernementale pratiquée dans ce domaine et les mesures de planification et d'aménagement prises dans les régions touristiques pour protéger l 'environnement ;- le second type de rapport est constitué par des études de cas concrets effectuées dans plusieurs pays Membres et analysant les incidences du tourisme sur l 'environnement ainsi que ses implications économiques dans une station touristique donnée*. Ces études devaient en particulier mettre en lumière les relations existant entre les variations des recettes du tourisme et les modifications de l 'environnement ;- de plus, le Secrétariat a rédigé un certain nombre de rapports sur des questions particulières relatives au tourisme et à l'environnement comme, par exemple, celles de la capacité d'absorption des zones touristiques, des mesures pour réduire l'influence de la circulation sur les lieux touristiques ou encore des effetsdu tourisme sur l'économie et l ...
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Lorsqu'en 1976 l'OCDE publiait un premier ouvrage sur les redevances de pollution, les politiques de l'environnement des pays Membres étaient en pleine évolution : dans la plupart des cas, l'application des redevances de pollution était encore relativement récente ou à l'état de projet. Depuis cette date, l'expérience en ce domaine s'est à la fois approfondie et élargie : là où les redevances étaientdéjà mises en œuvre, les systèmes se sont perfectionnés et l'information s'est développée notamment quant aux résultats obtenus ; d'autre part, certains projets se sont concrétisés tandis que d'autres sont apparus.La présente publication constitue donc un remaniement et un approfondissementsubstantiel par rapport à la précédente, dont elle conserve toutefois les mêmes objectifs et le même esprit : il ne s'agit pas d'un ouvrage théorique pour (ou contre) les redevances de pollution mais d'une analyse des expériences concrètes afin de montrer comment se conçoivent, se calculent et s'appliquent les redevances.
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La présente publication contient les rapports préparés en vue de la réunion des Ministres de l'Environnement des pays Membres de l'OCDE qui s'est tenue à Paris les 7 et 8 mai 1979. Le programme de l'OCDE pour l'Environnement a maintenant dix années d'existence, et c'était la deuxième réunion des Ministres del'Environnement de l 'OCDE. Les Ministres ont discuté des changementsintervenus dans l'état de l'environnement dans les pays Membres de l'OCDE qui se sont produits au cours des dix dernières années de mise en œuvre des politiques de l'environnement. Un rapport sur ce sujet est disponible et fait l'objet d'une publication distincte. Les Ministres ont aussi examiné les perspectives pour l 'avenir. Le résultat de la réunion et les points de vue des Ministres sont reflétés dans le Communiqué et la Déclaration, présentés dans le premier rapport.Les quatre rapports qui suivent ont servi de support aux débats des Ministres. Trois d'entre eux ont été établis par le Secrétariat de l'OCDE aidé par des experts éminents et de réputation internationale dans les domaines de l'environnement et des sciences économiques, dont le Professeur Leontief, Prix Nobel. Le quatrième rapport a été préparé par M.J.F. Saglio, ancien Délégué à la Qualité de la Vie au Ministère de l'Environnement et de la Qualité de la Vie.
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Dans le cadre de son programme, le Groupe de travail sur la politique de l'information, de l'informatique et des communications étudie le développement des réseaux de données et les problèmes de politique qu'il soulève. Un rapport, établi par Logica Limited, Londres, sur L'utilisation des réseaux internationaux de transmission des données en Europe , constitue le volume N° 2 de la Série PIIC. Le présent rapport contient le compte rendu d'une session spéciale du Groupe de travail sur la politique de l'information, de l'informatique et des communications qui s'est tenue du 13 au 15 septembre 1978 à l'OCDE, à Paris, sur le sujet : "Incidences, au plan de l'action gouvernementale, de l'évolution des réseaux de données dans la zone de l'OCDE". Cette réunion avait pour objet de permettre aux participants : (i) de présenter des plans et faits nouveaux concernant l'établissement de réseaux de données dans les pays Membres ; (ii) d'examiner les questions économiques, juridiques et structurelles liées à l'exploitation et à l'utilisation de ces réseaux ; (iii) d'étudier la nécessité de mener, à l'égard des réseaux de données, une action s'étendant à tous les pays de l'OCDE ; et (iv) de déterminer les problèmes spécifiques à la solution desquels l'OCDE pourra contribuer de façon appropriée. La Session I a été consacrée à la présentation de projets concernant les réseaux de données dans la zone de l'OCDE et de leur exploitation. Au cours de la Session II, des exposés ont été faits sur les incidences d'ordre politique de ces développements. Lors d'une troisième Session, les participants ont débattu librement de leurs domaines de préoccupation et de la nécessité d'une consultation s'étendant à tous les pays de l'OCDE. Il serait souhaitable que les communications présentées et les conclusions de cette réunion puissent servir d'étape pour faciliter les délibérations futures sur l'accès aux réseaux internationaux de données, leurs réglementations et sur les moyens à mettre en œuvre pour donner satisfaction à l'utilisateur des ...
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La transmission des données par les circuits de télécommunication a débuté durant les années 50 avec les premiers réseaux de réservation des compagnies aériennes ou ceux de la défense. Vers le milieu des années 60, la technologie mise au point pour ces premiers systèmes a trouvé des applications plus larges, et si les réseaux conçus pour les réservations des compagnies aériennes ou pour le commandement et le contrôle de la défense étaient toujours techniquement les plus avancés, d'autres utilisateurs avaient pris une certaine importance, notamment dans les domaines de la banque, de la gestion commerciale, de la fonction publique ou des sociétés de traitement informatique en temps partagé. Dès l'origine ou presque, les réseaux de la défense et ceux des compagnies aériennes ont eu une dimension internationale, mais jusqu'à la fin des années 60 - à part quelques exceptions - les autres systèmes faisant appel à la transmission des données restaient dans les limites d'un seul pays.
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